Caroline Bia
incandescence
Dans ce voyage en monochromie, la déferlante qui nous apparaît, ou la fumée, la fêlure, la peau lézardée, l’abîme – toutes choses très sensorielles – naissent d’un tremblement de garance cramoisie et des variations sur le poupre, le bleu de phthalo, le magenta, l’orange vif, pour leur semblable magie chromatique, et pour leur connivence avec la garance cramoisie. Par la marge d’incertitude du geste, le mouvement, le relief, émergent des pures qualités physiques d’intensité, de profondeur et transparence perceptives.
incandescence
Dans ce voyage en monochromie, la déferlante qui nous apparaît, ou la fumée, la fêlure, la peau lézardée, l’abîme – toutes choses très sensorielles – naissent d’un tremblement de garance cramoisie et des variations sur le poupre, le bleu de phthalo, le magenta, l’orange vif, pour leur semblable magie chromatique, et pour leur connivence avec la garance cramoisie. Par la marge d’incertitude du geste, le mouvement, le relief, émergent des pures qualités physiques d’intensité, de profondeur et transparence perceptives.